Un des sites de Formule 1 les plus respectés sur la planète, Grande Premium du Brésil, a créé ce qu'ils appellent un "Super Palmarès", un classement des meilleurs pilotes au monde dans les compétitions suivantes: F1, MotoGP, Indy, Endurance, F-E, DTM, GP2, WRC Rallye et Superbike.
Ils ont ensuite appliqué une méthode de calcul qui permet de classifier tous les pilotes de manière objective selon leurs résultats des trois dernières saisons, et en faire une classification générale selon leurs compétences, peu importe la compétition. Nous avons créé une formule, en référence au classement de la FIFA pour les équipes de football, qui prend en compte les résultats des courses, l'importance et la compétitivité des catégories. Nous avons pris en compte le fait que la F1 et MotoGP sont des championnats qui ont plus de poids, et que la F-E et Indy ont un plus grand roulement au niveau des gagnants pour chaque course.
Le résultat est assez intéressant, alors que 6 des 10 meilleurs pilotes possèdent un volant dans le Championnat de Formule-E. Il est important de noter que ces pilotes sont aussi actifs dans d'autres compétitions, et partagent leur calendrier entre différentes équipes. À noter que la liste complète des 100 meilleurs pilotes est disponible sur le site de Grande Premium [lien], nous vous offrons uniquement le top 25 ici. Sébastien Vettel est en 26e position.
Voici le top 25 des meilleurs pilotes au monde selon Grande Premium:
Le Championnat de Formule E possède un excellent bassin de pilotes de haut calibre, qui offrent un spectacle exceptionnel et très compétitif aux amateurs de course. Je vous encourage à suivre la F-E et d'en parler à vos connaissances qui sont déjà amateurs de F1 - les monoplaces de F-E sont une superbe vitrine pour l'électromobilité, et démontrent que les voitures électriques peuvent être tout aussi excitantes que leurs homologues à essence.
Source: Grande Premium Contribution: Simon-Pierre Rioux
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Ce soir dès 18h30, suivez en direct le ePrix de Long Beach en Californie. Il sera télédiffusé sur les ondes de RDS2, sur l'appli Formula E (iOS/Android) et sur le site officiel au www.fiaformulae.com
Cette course est la 6ième du championnat de FIA Formule E à être disputé cette saison, sur un circuit empreint de tradition et reconnu comme étant un des plus exigeants circuit urbain. N'oubliez pas de voter pour votre pilote favori aufanboost.fiaformulae.com Le team Renault e.dams figure en première place sur tous les tableaux : au classement du championnat par équipes et à celui des pilotes avec le Suisse Sébastien Buemi qui compte vingt-deux points d’avance sur le Brésilien Lucas Di Grassi (98 à 76). L’ensemble moteur-boîte Renault est le plus efficace depuis le début de saison : Buemi a fini toutes ses courses sur le podium. Mais son équipier Nicolas Prost n’a pas connu la même réussite : 6e au championnat avec 38 points, il rêve surtout désormais à une victoire à domicile, dans les avenues de Paris. C’est aussi ce que viseront Stéphane Sarrazin (team Venturi, 8e au championnat avec 30 points), ou Jean-Eric Vergne. Le pilote français du team DS Virgin (14e) n’a inscrit que quatre points depuis le début de saison, alors que son équipier Sam Bird l’emportait à Buenos Aires. Les ingénieurs de DS Performance n’ont pas encore eu le temps d’optimiser la monoplace (ils travaillent déjà à la saison 3), trop lourde d’une trentaine de kilos. Mais Jean-Eric Vergne s’accroche au souvenir de sa course de l’an passé, ici-même où il échoua de peu derrière le vainqueur, Nelson Piquet Jr.
ePrix de Paris dans 3 semaines
Belle réussite pour l’ePrix de Paris, manche française du championnat du monde de Formule E, tous les billets proposés aux spectateurs ayant été écoulés en quelques semaines ! Ainsi, à moins d’un mois de cette course 100% électrique, l’engouement du public parisien semble définitivement confirmé. Un succès pas si surprenant, compte- tenu du lieu ou se déroulera cette journée de course, au beau milieu des Invalides. Suivez toute l'action de la Formule E grâce au site officiel canadien de la Formule E, soutenu par l'AVÉQ: https://www.facebook.com/fiaformulae.com.canada/ Contributeur: Simon-Pierre Rioux Ceci est la première voiture de course autonome du monde.
RoboRace est une série automobile avec conduite autonome qui verra 10 équipes en compétition pour développer la meilleure intelligence artificielle pour contrôler les voitures. Les véhicules feront la course aux mêmes événements - mais pas les mêmes courses - que ceux du championnat de Formule E. Développé par Kinetik basé à Londres, la voiture elle-même en sera à ses premiers «spectacles» au cours de la série de Formule E 2016/17 qui devrait débuter à Montréal selon les rumeurs. L'équipe derrière la voiture ont donné très peu de détails sur la façon dont tout cela va fonctionner, ou ses dimensions. Denis Sverdlov de RoboRace a cependant expliqué que les voitures auraient des vitesses de pointe de "plus de 300 km/h". La conception initiale de la voiture a été produite par Daniel Simon qui mentionne que le profil aérodynamique est conçu afin de générer une énorme quantité d'adhérence au sol. «Il était important pour nous que nous puissions générer des appuis substantiels sans pièces inutiles qui encombrent la voiture, pour maintenir une apparence pure et emblématique», a déclaré Simon dans un communiqué de presse. "Ceci est en grande partie rendu possible en utilisant le sol comme le dispositif aérodynamique principal et nous sommes en train de développer des parties de carrosserie qui sont actives, plus organiques et transparentes que les solutions aujourd'hui." Quand ces voitures autonomes entreront dans l'arène, elles utiliseront le même tracé que les voitures de Formule E, mais la course RoboRace aura lieu avant la course principale, comme vitrine technologique. Lors du lancement de la série, le patron de la Formule E, Alejandro Agag, explique qu'il aimerait voir Google, Uber, Continental et Bosch utiliser leurs algorithmes - chaque équipe aura des voitures identiques - dans cette série automobile. «Nous avons créé la première version de l'API, de sorte que les équipes peuvent commencer à utiliser les API pour faire leurs algorithmes et utiliser les simulations pour voir comment cela fonctionne", a déclaré Sverdlov. Source: FIA Formula E Contributeur: Simon-Pierre Rioux Pour ceux qui auraient manqués la plus récente course de Formule E à RDS2, voici 50 minutes de faits saillants sur une course vraiment surprenante... nous n'en dirons pas plus!
Prochain rendez-vous: ePrix de Long Beach en Californie dans 2 semaines, le 2 avril. Spoilers après l'image ci-bas (ATTENTION!!) ![]() C’est dans quelques jours à savoir, samedi 12 mars, que le championnat du monde de Formule E reprendra ses droits, avec un ePrix de Mexico très attendu qui se reposera sur les fondations sur circuit utilisé pour la Formule 1 depuis la saison passée. Une 5ème manche qui verra se dérouler un nouvel acte du passionnant duel opposant Sébastien Buemi (Renault eDams) et Lucas di Grassi (Team Audi Abt Schaeffler), le tout peut-être arbitré par les DS/Virgin de Jean-Eric Vergne et Sam Bird, vainqueur du dernier ePrix, en Argentine. Formule E, FanBoost : Vergne en leader tricolore Et comme cela est le cas sur chaque manche du championnat de Formule E, les fans ont la possibilité d’aider leurs pilotes préférés via l’interface de votes pour le FanBoost, qui récompensera les 3 pilotes les mieux classés par un regain de puissance de quelques secondes, utilisable dans la deuxième partie de course, après le changement de monoplaces à mi-course. L’occasion de faire un petit point sur le classement actuel Et c’est une petite surprise puisque, pour l’heure, c’est le pilote Aguri Salvador Duran (16% des votes) qui pointe au sommet de ce classement. Logique, finalement, ce dernier étant natif du Mexique. Derrière lui, Lucas di Grassi confirme sa popularité en cumulant près de 15% des suffrages. Suivent -et c’est une habitude cette saison- les deux pilotes DS, Bird devant Vergne, à égalité de score puisque les deux hommes comptabilisent 14% des voix chacun. Formule E : Tickets disponibles pour l’ePrix de Paris Simona de Silvestro (Andretti) est 5ème, mais déjà bien loin du quatuor de tête, avec 6% des votes. Les autres pilotes Français sont tous, pour l’heure, exclus du top 10, avec Nicolas Prost (11ème, eDams Renault), Stéphane Sarrazin (14ème, Venturi) et Loïc Duval (16ème, Team Dragon). Pour mémoire, il est possible de voter pour ce FanBoost via Facebook, Twitter, Instagram, iOS et Android ou via ce lien direct qui vous redirigera vers le site officiel de la Formule E.
Les Membres Virgin Mobile sélectionnés et leur invité peuvent s'envoler à L.A. pour voir l'écurie DS Virgin Racing dominer la route lors du championnat officiel de Formule E de la FIA à Long Beach, en Californie.
Les Membres et leurs invités auront droit à un week-end plein d'action, y compris les billets pour la course, le vol et l'hôtel, de l'argent de poche, une visite du garage et de la voie des stands, une rencontre avec les pilotes, des articles officiels exclusifs de l'écurie, et bien plus encore. Participez en cliquant ici, ou doublez vos chances en participant dans l'appli Mes avantages pouriPhone ou Android. Source: Formula E Official Canada Fan Site Contributeur: Simon-Pierre Rioux ![]()
C’est après un début de saison plutôt difficile et une quatrième place provisoire au classement des équipes que DS Virgin aborde l’ePrix de Buenos Aires. L’épreuve se disputera ce samedi dans la chaleur étouffante de la capitale argentine dès 14h00 HNE sur RDS2.
L’écurie franco-britannique avance à tâtons depuis que DS a rejoint le projet avec des moyens conséquents. Les ennuis techniques n’ont pas épargné les deux pilotes lors des trois premières manches, même si Sam Bird a davantage réussi à tirer son épingle du jeu par rapport à un Jean-Éric Vergne qui a ouvert son compteur à Punta del Este en décembre. Revanchard, le pilote français arrive sur un tracé qui lui convient et où il espère démontrer que son équipe est réellement en mesure de franchir un palier important en matière de performance comme de fiabilité. ![]()
"Je garde de bons souvenirs de Buenos Aires", explique-t-il. "Je dirais même que c’est l’un de mes circuits préférés. Il m’avait bien réussi l’an dernier et cela me donne encore plus envie de retrouver la voiture. D’autant qu’avec le travail effectué par l'équipe technique et évoqué par Sam, nous devrions franchir un cap par rapport aux deux dernières courses."
Meilleure compréhension DS Virgin assure notamment que les problèmes rencontrés avec les batteries en Uruguray ont été compris et devraient être résolus. Sur une piste très courte, faite de nombreux virages lents ou serrés, le peloton devrait évoluer avec des monoplaces rapprochées. L’ambition de l’écurie est de permettre à ses deux pilotes de pouvoir jouer les trouble-fêtes parmi les premières places. "Depuis la manche en Uruguay, l’écurie s’est focalisée sur l’analyse des données récoltées en course et en essais", souligne Alex Tai, directeur de DS Virgin. "Nous pensons mieux comprendre les dynamiques en jeu sur les nouvelles voitures et il nous tarde d’être en Argentine afin de mettre cet apprentissage en pratique. Nous ne pouvons pas nous permettre de nous reposer et je mène l’équipe en ce sens. J’ai de grands espoirs pour Buenos Aires et j’ai hâte de voir notre travail porter ses fruits." Villeneuve n'est pas amer Villeneuve continue néanmoins de croire au potentiel de ce championnat qui met en vedette des monoplaces propulsées par des moteurs électriques. "Ce championnat est fun, c’est professionnel, les courses sont organisées dans de beaux endroits ; j’ai adoré la piste de Putrajaya en Malaisie, mais par contre, je n’ai pas du tout aimé les deux autres [Pékin et Punta del Este], et ce championnat possède un très bon potentiel pour l’avenir. Il faut toutefois voir comment il va évoluer, car il y a encore beaucoup de choses à mettre en place pour assurer sa sérénité. Et si ça marche, son potentiel est énorme. C’est une série complexe, et ce qui est complexe est intéressant. La situation actuelle va me permettre de me concentrer sur d’autres aventures. Je suis un pilote. Je suis là pour faire de la course." Source: Motorsport Contribution: Simon-Pierre Rioux ![]()
L'expérience de Jacques Villeneuve avec Venturi, en Formule E, a déjà pris fin. Villeneuve a quitté l'écurie, tel que confirmé par cette dernière, qui cite une décision mutuelle survenue en raison d’une vision différente quant à l’avenir de l’équipe.
Il s’était joint à Venturi en 2015 en vue de la deuxième saison de la jeune histoire du championnat de Formule Électrique. Il n’a inscrit aucun point en trois manches. Il n’avait pas terminé la course d’ouverture à Pékin, a eu des problèmes lors d’un arrêt aux puits à Putrajaya et n’a pas amorcé la course de Punta del Este après avoir été victime d’un accident en qualifications. L’ancien champion de Formule 1 sera remplacé par Mike Conway. Il disputera la course à Buenos Aires le mois prochain, ainsi que les six étapes suivantes pour conclure la campagne. Conway évoluait pour LMP1 (Toyota) en championnat d’endurance la saison dernière. Il compte cependant déjà un peu d’expérience en Formule E car il a fait des séances d’essais pour Dragon Racing en 2014. Villeneuve avait récemment expliqué en entrevue que son arrivée dans la série avait suscité des réactions contrastées de la part des amateurs de course automobile. « Certains pensent que c'est super. D'autres ne veulent absolument pas entendre parler de l'électrique et me voient comme un traître », avait-il confié à CNN. « La Formule E n'a pas été créée pour remplacer la Formule 1. Ce n'est pas son objectif et cela ne doit pas l'être. La Formula E et la Formule 1 sont deux mondes différents. Ce que je veux dire par là, c'est qu'il ne faut pas comparer une voiture électrique avec une voiture propulsée par un moteur à combustion, cela n'a aucun sens. » Pour plusieurs spécialistes, la décision par Venturi de terminer le contrat de Villeneuve prématurément ne peut qu'être bénéfique pour l'équipe, alors que Conway est un excellent pilote de circuits urbains et a fait ses preuves avec Toyota en WEC. Source: Presse Canadienne Contributeur: Simon-Pierre Rioux N'oubliez pas que c'est le ePrix de Punta del Este en Uruguay ce samedi!
Pour partir le bal, une émission spéciale fut présentée à 15h55 vendredi sur YouTube en direct de la plage, avec Nicki Shields et Jack Nicholls, ainsi que des invités spéciaux! Nous avons eu la chance de poser la question sur l'impact du vent et du sable sur la piste de course et son impact sur les voitures - l'an dernier, la piste est devenue une véritable patinoire! L'application pour iOS et Android offre maintenant la vidéo en direct pour un visionnement en 360° ainsi qu'un choix des différentes caméras afin d'immerser le spectateur encore plus. Cela promet!! Dès le matin, vous aurez accès aux essais et aux qualifications; la course aura lieu à 14h00 HNE. Disparu des monoplaces après le retrait de la F1 en 2004, Jaguar fait son retour en sport auto, annonçant son entrée dans la troisième saison de Formule E débutant à l’automne 2016.
Retour électrisant Pressenti depuis quelques jours, le retour de Jaguar en sport automobile s’est concrétisé ce 15 décembre 2015. C’est par le biais de la jeune Formule E, à monoplaces électriques, que le constructeur va débarquer en compétition, lors de la saison 2016-2017 débutant à l’automne prochain. "Les voitures électriques vont jouer un rôle dans le futur de la gamme Jaguar Land Rover et la Formule E nous donnera une opportunité unique de porter le développement des technologies d’électrisation", déclare Nick Rogers, directeur de l’Ingénierie du groupe britannique, "ce championnat permettra à nous et nos ingénieurs d’essayer nos technologies avancées en conditions de performances extrêmes". Associé à Williams Advanced Engineering, qui a travaillé sur le ex-futur supercar hybride de 850 chevaux Jaguar C-X75, Jaguar communiquera les noms des pilotes et détails à l’approche de l’automne 2016. Source: TF1 Contributeur: Simon-Pierre Rioux ![]() Après avoir été le premier véhicule zéro émission à prendre le départ en 2015, ACCIONA participera pour la seconde fois au Dakar 2016, l’épreuve la plus extrême du monde de rallye. Avec ce véhicule 100% zéro émission ACCIONA démontre la viabilité et le potentiel des énergies renouvelables dans les conditions les plus extrêmes. Ce défi qui a débuté en 2011 avec le traineau propulsé par cerfs-volants qui est arrivé jusqu’au Pôle Sud et qui a continué avec la participation au Vendée Globe, à bord d’un voilier qui a fait le tour du monde en solitaire, sans escales et sans consommer de carburant fossile. »» Lire Un camion 100% électrique au Rallye Dakar 2015!!! et L'équipe «Acciona Dakar» est disqualifiée officiellement, mais continue la course de son propre gré par simple défi Au mois d’octobre dernier ACCIONA a participé au Rallye International du Maroc en devenant le premier véhicule électrique à terminer une épreuve du calendrier mondial des rallyes. ACCIONA 100% EcoPowered fut présent à Paris le 18 novembre afin d’assister à la présentation officielle du Dakar 2016 et de son parcours. Cette course se déroule entre le 2 et le 16 janvier et elle traversera l’Argentine et la Bolivie. ACCIONA, une multinationale espagnole d’infrastructures, d’eau, de services et d’énergies renouvelables, participera pour la seconde année consécutive au Rallye Dakar, et sera de nouveau le premier et e seul véhicule à prendre le départ sans consommer une seule goutte de combustible fossile. La construction du véhicule ACCIONA 100% EcoPowered a représenté un travail continu de recherche et de développement depuis sa conception en 2012 par le département de R&D d’ACCIONA. Cette année, il se mesure de nouveau à ce défi extrême avec des améliorations excitantes:
Ces nouveautés ont déjà démontré leur efficacité pendant la participation au Rallye International du Maroc, où elle a été la première voiture à zéro émission à participer et à terminer une épreuve du calendrier mondial des rallyes. ![]() Avec cette participation l’entreprise veut continuer de démontrer la capacité des énergies propres en tant qu’alternative réelle aux combustibles fossiles et à leurs émissions de CO2 qui participent au réchauffement climatique. C’est Ariel Jatón qui sera au volant, un pilote fort d’une longue carrière dans le monde de la compétition avec de nombreuses participations au Rallye Dakar. Ariel a été champion d’Argentine de Rallye Cross-Country et il a collaboré au développement et la construction de la voiture depuis sa conception. Avec lui se trouvera Gastón Scazzuso qui à sa trajectoire en ingénierie électronique appliquée à la compétition du moteur, allie son engagement à bord en tant qu’équipier. Source: Acciona ES Contributeur: Simon-Pierre Rioux Les organisateurs du Championnat FIA Formula E et l'entreprise Kinetik ont annoncé la semaine dernière le lancement d'un nouveau championnat baptisé « Roborace » auquel prendront part des véhicules électriques... autonomes. Le coup d'envoi de cette nouvelle série devrait être donné lors de la saison 2016/2017 du Championnat FIA Formula E, les courses de la Roborace étant programmées en « lever de rideau » des épreuves de la série monoplace 100 % électrique. Le plateau de ce nouveau championnat reprendra le format déjà vu en Formula E avec dix équipes engageant chacune deux voitures autonomes, les véhicules étant les mêmes pour chaque équipe. L'une de ces équipes sera organisée selon le principe du « crowd-sourcing » et sera ouverte aux talents du monde entier. La durée des courses sera quant à elle fixée à une heure. « Nous sommes impatients à l'idée de travailler avec Kinetic sur ce qui sera sans doute l'un des évènements sportif les plus en pointe de l'histoire », a commenté Alejandro Agag, le CEO de la Formula E. « Roborace est un challenge ouvert aux sociétés les plus innovantes dans les domaines scientifique et technologique. C'est très excitant de développer une plateforme à travers laquelle elles pourront s'exprimer, et je crois que nous avons le potentiel de donner naissance à de grandes idées avec le concours de crowd-sourcing ». Les détails concernant cette nouvelle série et notamment les modalités pour y participer, devraient être révélés en début d'année prochaine. Evolution est l’un des mots les plus utilisés dans le jargon des sports mécaniques, mais c’est une réelle révolution qui se profile avec le projet ROBORACE. Voici pourquoi il ne faut pas la craindre, mais l’accueillir comme une source d’inspiration. Pas de pilotes, pas d’âme? ROBORACE sera un championnat 100% électrique, comme la Formule E, mais se différenciera par des voitures connectées, et surtout autonomes! Cela veut dire qu'il n'y aura pas de pilotes à bord des autos, qui seront donc des "robots" propulsés à grande vitesse dans un environnement urbain similaire à celui de la Formule E. Mais l’humain sera bel et bien là : cette compétition technologique mettra à l’épreuve les ingénieurs et les firmes les plus avancées au monde dans le domaine de la gestion autonome d’un véhicule. Pas des voitures téléguidées géantes et ennuyeuses! Les courses ROBORACE ne seront pas une procession d’autos programmées du départ à l’arrivée, sans possibilité d’interaction ou d’évaluation des conditions en temps réel. Par exemple, si un team programme une auto à freiner 60m avant un virage et qu’une auto la suivant est dirigée pour freiner de manière optimale à 40m, la seconde ne viendra (en théorie!) pas percuter l’autre du fait des données apportées sur l’interaction en temps réel avec l’environnement. On peut aussi imaginer les autos intelligentes éviter des débris de piste, ou comprendre progressivement les conditions de course et revisiter les trajectoires tour après tour de manière optimisée, ainsi que se comporter avec plus ou moins d’agressivité selon les rendus thermiques des capteurs des pneus. De la stratégie et de la compétition Comme dans une course où sont prises des décisions stratégiques des murets des stands et où le pilote apporte sa part de performance et de facteurs inconnus, ROBORACE offrira un show fait d’imprévus, de dépassements entre les autos et de paramétrages des stratégies de course. Les autos ne suivront pas une seule et même ligne sans interagir entre elles et les teams pourront calculer comment faire réagir leur propre auto à une poursuivante pour défendre, ou tenter une manœuvre d’attaque sur un concurrent se trouvant devant. Les autos ne sont cependant pas "télécommandées". Pour lire plus sur ces courses de VÉ autonomes: Source: Motorsport.com
Contributeur: Simon-Pierre Rioux Mexico City fait officiellement son apparition au calendrier de la saison 2015-2016 de Formule E, pour un ePrix qui se déroulera sur le tracé des frères Rodriguez, une première pour la série sur un circuit non-urbain.
Comme le révélait Motorsport.com en septembre dernier, Mexico City intègre le calendrier à la date vacante du 12 mars 2016, entre l’ePrix de Buenos Aires et celui de Long Beach. La Formule E empruntera un tracé de 2,14 km qui utilisera la même ligne droite de départ/arrivée que la Formule 1, mais aussi la fameuse courbe de Peraltada, avec toutefois une chicane incorporée au milieu de celle-ci (voir photo ci-dessus). "Nous sommes ravis d’amener la Formule E à Mexico City", se félicite Alejandro Agag, directeur général de la Formule E. "C’est l’une des plus grandes villes au monde, avec un héritage riche et une passion pour le sport automobile. Je suis confiant pour que les fans créent une ambiance extraordinaire et fassent de l’ePrix de Mexico City l’une des courses les plus mémorables de la saison." Maire de la capitale mexicaine, Miguel Angel Mancera a ajouté : "Accueillir des évènements tels que la Formule E aide à faire de Mexico City l’une des capitales du sport dans le monde." "Après le succès du Grand Prix de Formule 1, le circuit Hermanos Rodriguez est l’endroit parfait pour organiser tous les types d’événements en sports mécaniques et c’est un point clé du travail effectué par le gouvernement pour attirer les touristes." Rappelons que Mexico accueillera également pour la première fois une manche du Championnat du Monde d’Endurance FIA WEC en 2016. Source: MotorSport Contributeur: Simon-Pierre Rioux ![]() Après la victoire en ouverture à Pékin, Vincent Gaillardot, Directeur du programme Formula E chez Renault Sport, livre plus de détails sur le développement du tout nouveau propulseur Z.E. 15, mis au service exclusif de Renault e.dams. Comment l’équipe s’est-elle adaptée aux nombreux changements apportés au règlement technique avant la saison 2015/2016 ? « Pour relever ce nouveau défi, nous avons eu besoin de l’expertise de Renault Sport en matière de moteurs électriques et systèmes de contrôle. Nous avons également dû compter sur le savoir-faire mécanique de Renault Sport Technologies au moment de concevoir la boîte de vitesses et la suspension. Afin de tirer pleinement profit de toutes les compétences présentes au sein du Groupe Renault, une équipe de spécialistes dédiée à la Formula E a été mise en place. Nous avons ainsi pu nous appuyer sur la maîtrise technologique et la grande expérience acquises par Renault depuis des années au plus niveau. » Après avoir identifié les experts en question, quelle est l’étape suivante ? « Une fois les spécialistes réunis, il est temps de se retrousser les manches ! Effectuer des simulations revêt une importance capitale. Ceci nous permet de tester et valider les différentes pièces avant de sélectionner soigneusement nos partenaires techniques via une analyse comparative. Nous sommes ainsi certains de travailler avec les meilleures entreprises. » Quels aspects faut-il prendre en compte au moment de définir l’architecture du propulseur ? « En sport automobile, il y a certains impondérables, comme par exemple le couple, la masse, et le centre de gravité. Mais sur les véhicules électriques, vous devez également prendre en compte des critères très spécifiques comme le rendement du moteur et les éventuelles pertes lors du transport d’électricité. Vu que le règlement technique vient tout juste de s’ouvrir, la plupart des écuries et des constructeurs adopteront sans doute des architectures très variées. Dans tous les sports mécaniques, les différences s’estompent au fil du temps car l’étude approfondie de la performance révèle les meilleures solutions. Il sera intéressant de voir si le scénario se reproduit en Formula E. » L’implication de Renault dès la première saison de Formula E a dû beaucoup vous aider ? « Absolument. Après avoir collaboré si étroitement avec l’équipe au cours de leur première campagne victorieuse, nous avons pu tirer des enseignements précieux sur la discipline et les appliquer lors du développement de notre propulseur. En tant qu’écurie, e.dams possède une expérience inégalée pour gérer l’aspect « course » du projet. Ils ont déjà fait leurs preuves et savent comment optimiser la performance sur une monoplace. Au final, c’est l’association des compétences de Renault et e.dams qui a contribué à l’évolution du Z.E. 15. » Comment arrive-t-on ensuite à transformer cette expertise en une voiture capable de remporter des courses ? « Tout au long du développement de la monoplace et du propulseur, l’équipe technique Renault e.dams a dû identifier et préciser les facteurs de performance clés. En parallèle, il a fallu valider les différents composants du package global. Ce double objectif a été rempli via des tests aux bancs d’essais très poussés, ainsi que des séances en piste. Et le travail ne s’arrête pas là ! Même durant les essais officiels de pré-saison à Donington, nous avons relevé quelques soucis, notamment en matière de fiabilité, qu’il a fallu régler avant le coup d’envoi de la saison. » Dans quel état d’esprit abordez-vous l’ePrix de Putrajaya ? « Nous avons connu un week-end limpide à Pékin. Ceci a permis de se concentrer sur la préparation de la course et la recherche de performance. Gagner d’emblée nous place évidemment dans une position idéale, mais il est important de garder à l’esprit que les autres constructeurs ne sont pas loin derrière. Notre niveau de concentration doit donc rester irréprochable au moment d’aborder la prochaine course. » ![]() La deuxième manche du Championnat FIA 2015/2016 de Formula E a lieu ce samedi 7 novembre à Putrajaya en Malaisie. Les pluies abondantes de la mousson prévues pour le weekend font que la FIA a fait devancer de 2 heures le départ de la course, 14h au lieu de 16h pour éviter les épisodes plus violents; on risque cependant d'y goûter de plein fouet. Une belle occasion pour tester l'efficacité des pneus toutes conditions Michelin! ePrix de Putrajaya – soyez au courant ! Résultats Saison 1 Vainqueur : Sam Bird (DS Virgin Racing) Pole position : Oriol Servia (Dragon Racing), 1’22’’010 Classement de Sébastien : 3ème Classement de Nicolas : 4ème Meilleur tour en course : Jaime Alguersuari (DS Virgin Racing), 1’24’’429 Longueur du circuit : 2,56 km Nombre de virages : 14 Source: Blogue F1/F-E Valverde Contributeur: Simon-Pierre Rioux Pour son baptême au Championnat du monde de Formule électrique, Jacques Villeneuve avoue qu’il ne gardera pas un bon souvenir de son séjour à Pékin, en Chine.
Le pilote québécois a rallié l’arrivée au 14e rang samedi sans avoir pu s’exprimer en piste comme il en est capable. Villeneuve a été confronté, lors des essais libres, à une multitude d’ennuis techniques qui l’ont empêché de régler sa monoplace efficacement pour la séance de qualification et la course. «La journée a fort mal débuté, a-t-il expliqué mercredi en entrevue téléphonique au Journal depuis Mexico. Nous avons eu des ennuis de batteries avec l’une de mes voitures, et de freins avec l’autre. «Si bien que lors de la seconde séance d’essais, je n’ai bouclé que deux tours. C’est difficile dans ces conditions de se préparer pour la suite et d’aborder la qualification et la course avec confiance.» Rappelons qu’une compétition de Formule E se déroule dans une seule et même journée pour réduire les coûts. En raison de l’autonomie encore fragile des batteries, les pilotes doivent changer de bolide à la mi-course. «Il faut toujours espérer que tout se passera bien, sinon on risque de perdre beaucoup de temps dans les puits, indique-t-il. Et c’est ce qui nous est arrivé.» Mauvaise préparation Villeneuve, recruté par l’écurie monégasque Venturi, dresse donc un bilan négatif de cette première expérience. «Non, je ne suis pas satisfait de ma prestation, répond-il. Ce championnat est tout nouveau pour moi, d’accord. J’ai en effet beaucoup à apprendre, mais on est arrivés à Pékin mal préparés. «La bonne nouvelle, c’est qu’il reste dix autres étapes pour se racheter. Disons que Pékin a été pour moi une course de... mise en place. La Formule E est complexe, elle exige une bonne connaissance des dispositifs qui nous permettent de gérer la consommation d’énergie. «Je suis convaincu que ça ira mieux à la prochaine course.» La deuxième escale du championnat aura lieu à Putrajaya en Malaisie, le 7 novembre. La faute à Da Costa Qualifié au 12e rang, Villeneuve a connu un bon début de course avant d’être impliqué dans un accrochage au 14e des 25 tours avec Antonio Felix Da Costa. Le Portugais est venu s’excuser après avoir avoué sa responsabilité. «J’ai bien aimé son attitude, a dit Villeneuve. Il a fait une erreur, comme on en fait tous, mais il a démontré un bel esprit sportif. Il était affairé à consulter son écran sur le volant quand on s’est frappés. De tels moments d’inattention ne pardonnent pas.» Malgré tout, Villeneuve a pu poursuivre son parcours, contrairement à son rival. Le pilote de 44 ans s’est montré plus à l’aise en fin d’épreuve, puisqu’il a inscrit son chrono le plus rapide au 24e et avant-dernier tour de la course. Source: Journal de Montréal / Louis Butcher Contributeur: Simon-Pierre Rioux ![]() Le Suisse Sébastien Buemi (Renault e.Dams) a remporté samedi le ePrix de Pékin, première manche de la deuxième saison du Championnat FIA de Formule électrique, devant le Brésilien Lucas di Grassi (Audi Sport Abt) et l'Allemand Nick Heidfeld (Mahindra). Deuxième de la saison inaugurale qui s'est terminée en juin à Londres, Buemi n'a jamais été inquiété samedi. Parti en position de tête, il a signé le meilleur tour en course et terminé avec 11 secondes d'avance sur Di Grassi. « C'était une bonne course. J'ai eu un sentiment bizarre, car je me sentais un peu seul, mais c'est quand même agréable de gagner avec une petite marge », a réagi Buemi à sa descente du podium. « Je suis heureux, car l'équipe a fait un super travail et Renault a préparé un bon moteur, donc j'ai hâte d'être aux prochaines courses », a ajouté le Suisse, sacré champion du monde d'endurance chez Toyota l'an dernier. Le seul moment où Buemi n'a pas mené, c'est quand il s'est arrêté le premier pour changer de monoplace, à mi-course, ce qui a permis au Français Loïc Duval (Dragon Racing) de passer brièvement en tête. L'arrêt obligatoire au stand a aussi fait perdre une place à Heidfeld, son équipe perdant du temps pour accrocher son harnais de sécurité, ce qui a bien fait les affaires de Di Grassi. L'autre pilote de l'écurie Renault e.dams, le Français Nicolas Prost, visait le podium quand il a été retardé par un problème de train arrière et a ensuite cassé son aileron. La direction de course lui a alors donné l'ordre de rentrer au stand, en agitant un drapeau orange et noir, car l'état de sa monoplace, très abîmée, était jugé dangereux pour les autres concurrents. Le champion sortant de la Formule E, le Brésilien Nelson Piquet Jr (Nextev TCR), n'a pris que la 15e place, en raison d'un problème technique, juste derrière le Canadien Jacques Villeneuve (Venturi), champion du monde de F1 en 1997, 14e à cause d'un accrochage. Les reprises n'ont montré que la fin du contact, mais on a clairement vu Villeneuve s'excuser dans sa voiture. Ça n'a toutefois pas redonné le sourire à Da Costa qui a dû abandonner. Cette course spectaculaire, sur un tracé amélioré par rapport à l'ouverture de la première saison, a attiré 76 000 personnes dans le Parc Olympique de Pékin, autour du célèbre Nid d'Oiseau, le stade des Jeux olympiques de 2008. La prochaine manche aura lieu le 7 novembre à Putrajaya (Malaisie). Classement général du ePrix de Pékin, 1re manche de la saison 2015-2016 de Formule Electrique: 1. Sébastien Buemi (SUI/Renault e.dams) les 26 tours en 50 min 8 sec et 835/1000 2. Lucas di Grassi (BRA/Audi Sport Abt) 3. Nick Heidfeld (GER/Mahindra) 4. Loïc Duval (FRA/Dragon) 5. Jérôme d'Ambrosio (BEL/Dragon) 6. Oliver Turvey (GBR/Nextev TCR) 7. Sam Bird (GBR/DS Virgin) 8. Nathanaël Berthon (FRA/Aguri) 9. Stéphane Sarrazin (FRA/Venturi) 10. Robin Frijns (NED/Andretti) 11. Daniel Abt (GER/Audi Sport Abt) 12. Jean-Eric Vergne (FRA/DS Virgin) 13. Bruno Senna (BRA/Mahindra) 14. Jacques Villeneuve (CAN/Venturi) 15. Nelson Piquet Jr (BRA/Nextev TCR) 16. Nicolas Prost (FRA/Renault e.dams) ... Note: l'écurie Trulli n'a pas pu courir à Pékin samedi car ses moteurs ont été retenus par les douanes chinoises et ses monoplaces n'ont pas pu passer les vérifications techniques. Source: AFP ![]() Les nouveautés de la saison 2 La saison 2 du Championnat des monoplaces 100% électriques s'est ouvert samedi à Pékin, autour du stade olympique. Plusieurs nouveautés techniques ou sportives ont été introduites pour améliorer encore la discipline. A noter l'engagement de Jacques Villeneuve, le champion du monde de F1 1997, et l'inscription au calendrier d'une course à Paris. Des voitures plus puissantes Le règlement technique de la Formule électrique 2015-2016 introduit deux nouveautés importantes. La puissance autorisée pour les moteurs passe de 150 à 170 kilowatts (environ 225 chevaux) en course, mais elle reste de 200 kilowatts (270 ch.) pour les qualifications. Les moteurs électriques -unique ou double- sont désormais libres, chaque écurie à le droit d’utiliser son propre ensemble moteur/boîte. C’est notamment le cas de Renault, qui s’engage officiellement et donne son nom à l’écurie e.dams, championne 2014-2015. Autre marque française, DS (groupe PSA Peugeot-Citroën) apporte son soutien technique au team Virgin auquel elle s’est associée. Le châssis reste identique pour tous, c’est le modèle Spark SRT01E de la saison 1. Les batteries sont toujours fournies par Williams à toutes les équipes et un seul train de pneus Michelin rainurés de 18 pouces est utilisé pour les essais et la course, que la piste soit sèche ou mouillée. Des courses plus longues Ce ne sont qu’un ou deux petits tours de plus mais toutes les manches verront leur distance allongée, cette année. A commencer par le e-Prix de Pékin qui passe à 26 tours (au lieu de 25), toujours avec un changement de voiture au milieu. Cela n’a l’air de rien mais la gestion de la course pour préserver l’énergie électrique jusqu’au bout sera encore plus compliquée : plus de puissance moteur, plus de distance à parcourir mais toujours la même quantité d’énergie dans les batteries fournies par Williams. Des Français plus nombreux Cinq pilotes français sont engagés : Nicolas Prost, vainqueur d’une course et 6e au championnat 2014-2015 (meilleur Tricolore) poursuit avec Renault-e.dams. Stéphane Sarrazin et Loïc Duval continuent, eux aussi, avec le même team (Venturi et Dragon Racing). Jean-Eric Vergne intègre l’équipe Virgin DS Racing. Enfin, le débutant Nathanael Berthon (Trophée Andros Électrique!) a été titularisé au dernier moment par le team japonais Aguri après des essais concluants, cet été à Donington. Sur les vingt pilotes inscrits, la France est la Nation la mieux représentée. A noter aussi l’arrivée du "débutant" Jacques Villeneuve (44 ans) dans le team monégasque Venturi. Le Québécois est le premier champion du monde de F1 (1997) à s’engager pour une saison complète en FE. ![]() Des qualifications plus disputées A chaque manche, les vingt pilotes sont séparés par tirage au sort en quatre groupes de qualifications (disputées le matin de la course). Mais pour cette saison 2, la FE adopte le principe de la Superpole : les cinq meilleurs des essais qualificatifs repartiront chacun pour un tour, seul contre le chrono afin d’attribuer les cinq premières places de la grille de départ. La pole rapporte trois points au championnat. Un Fan Boost plus indécis En Formule électrique, les supporters peuvent aider leur pilote favori en votant via Internet : c’est le Fan Boost. Les trois pilotes élus disposeront d’une puissance supplémentaire et temporaire (jusqu’à 200 kW), utilisable en une seule fois et seulement sur leur deuxième voiture, en seconde partie de course. Cela facilite les dépassements. Nouveauté cette année : les votes débutent douze jours avant chaque épreuve mais surtout, le "scrutin" reste ouvert jusqu’à six minutes après le départ. L’an passé, on connaissait les heureux gagnants dès le placement sur la grille. Source: L'Équipe Contribution: Simon-Pierre Rioux [Official Formula-E Canada Fan Site]
** AIMEZ LA PAGE FACEBOOK OFFICIELLE F-E CANADA, QUI FUT CONFIÉE À VOTRE ASSOCIATION www.aveq.ca **Radio-Canada Sports a appris qu'un représentant de la formule E était à Montréal en début de semaine pour faire une inspection des lieux.
Un texte de Philippe Crépeau Une information confirmée par le délégué FIA à Londres, joint par courriel, et la Ville de Montréal. Durant sa visite de trois jours, il semble que le consultant mandaté par la formule E ait ouvert les yeux aux représentants de la Ville de Montréal sur les contraintes liées à la mise sur pied d'un circuit urbain en pleine ville. Le consultant en questionl n'était pas « autorisé à parler à la presse », a-t-on appris du délégué de la FIA, qui n'a pas voulu donner plus de précisions. Une source proche du dossier nous avait appris que le tracé utiliserait les rues de l'arrondissement Ville-Marie. Il semblerait qu'un plan B soit maintenant à l'étude, en utilisant des installations déjà existantes. On pense au circuit Gilles-Villeneuve, sur l'île Notre-Dame. Bien qu'il ne soit pas à proprement parler urbain. À l'image de la course de formule E présentée dans les rues de Monaco en mai dernier, la course montréalaise pourrait être présentée sur une version raccourcie du circuit de F1, pour éviter les longues lignes droites. « Si les lignes droites sont longues, c'est pénalisant pour tout ce qui est électrique et batterie, avait expliqué Jacques Villeneuve à Radio-Canada Sports le mois dernier. Les voitures électriques ont du mal à durer à pleine charge. Et il y aurait le danger que sur l'île Notre-Dame, les voitures aient l'air lentes, et ça n'aurait pas un effet positif. » De plus, il est impossible de penser à une course de formule E sur le circuit Gilles-Villeneuve en octobre 2016, car la ville doit entreprendre entre le Grand Prix de 2016 et celui de 2017 d'importants travaux de rénovation pour doter le circuit de nouvelles installations pour les équipes de F1, comme le prévoit l'entente avec Bernie Ecclestone. Il faudrait donc attendre à 2017 pour voir les monoplaces de formule E. À moins que la Ville de Montréal n'aille de l'avant avec un événement présenté dans les rues de Montréal, car l'expérience monégasque n'a pas été concluante et ne reviendra pas. Qui l'organisera? Les promoteurs de la ville de Hong Kong ont confirmé vendredi qu'ils présenteront une course de formule E en octobre 2016, si le tracé est homologué par la FIA. Montréal n'a pas encore de promoteur. Le représentant de la formule E a rencontré des candidats possibles lors de sa visite. Le patron de la formule E Alejandro Agag a dit la semaine dernière à motorsports.com que la saison 2016-2017 allait « probablement » commencer à Montréal. « Probablement veut dire si les conditions contractuelles sont remplies. Il reste plusieurs étapes à franchir, de nature contractuelle, financière et procédurale. Mais Montréal est sur notre liste », a écrit le délégué de la FIA à Radio-Canada Sports. Formule 1 et Formule E « Montréal sera probablement en ouverture de la troisième saison », a dit le président du conseil d'administration, Alejandro Agag, en entrevue à motorsports.com.
M. Agag a également mentionné que Hong Kong et l'Australie étaient dans les plans de la série pour 2016-2017. « Après Montréal, nous irons en Asie, où nous avons eu de bonnes discussions avec Hong Kong, mais rien d'officiel n'a été annoncé, a ajouté M. Agag. Puis, nous discutons avec deux villes australiennes pour une course qui suivrait la manche asiatique. » Déjà, la formule E discute avec New York et Tokyo en vue de la quatrième saison. Paris, nouveauté de la deuxième saison Les monoplaces de formule E tourneront à Paris durant le week-end du 24 avril 2016. Le circuit urbain empruntera l'esplanade des Invalides. C'est tout ce qu'on sait pour l'instant. On ne sait même pas si cette course aura lieu le 23 ou le 24. Bien que le calendrier de la deuxième saison ait été validé par la FIA, mercredi, lors de la réunion du conseil mondial, il reste encore quelques « trous » dans cette deuxième saison. En plus des incertitudes à propos de Paris, il y a une date vacante, le 12 mars. Il est question de Mexico, sur une version urbaine du circuit dessiné pour la F1. Le coup d'envoi sera donné le 24 octobre à Pékin, soit un mois plus tard que lors de la saison inaugurale, et se terminera les 2 et 3 juillet avec deux courses au coeur de Londres. La FIA a également entériné un changement au règlement sportif du championnat. Les équipes ne pourront pas avoir plus de deux pilotes durant la saison. Lors de la première saison, certaines équipes ont fait appel à plusieurs pilotes, notamment Andretti Racing, qui a fait rouler huit pilotes au cours de la saison, dont le regretté Justin Wilson. Les équipes devront garder les mêmes pilotes lors des trois dernières courses de la saison. Calendrier 2015-2016 du Championnat FIA de formule E (au 30 septembre) :
Formule 1 et Formule E ![]() Les fans de Formule E pourront, dès le début de la nouvelle saison, voter pour leur pilote favori après le départ de la course et avoir une influence sur la course. Ce changement majeur fait partie des nouveautés instaurées pour la saison 2 du championnat. Formula E Holdings Ltd, organisateur et promoteur du championnat de monoplaces à propulsion électrique, a dévoilé cette nouvelle procédure d’interaction avec les fans qui a d’abord créé de la controverse, mais qui, au final, a été grandement appréciée lors de la première saison. Pour la saison 2, les fans pourront voter jusqu’à six minutes après le départ des courses. Ils pourront voter sur le site web officiel de la Formule E, ainsi qu'en utilisant un hashtag sur les réseaux sociaux Twitter, Facebook et Instagram. L’augmentation de la puissance du moteur, autorisée par le FanBoost, sera de 100kW. Avec une puissance totale limitée à 200kW, les écuries et les pilotes devront gérer le déploiement de ce surplus de puissance. Les pilotes ne pourront d’ailleurs utiliser ce boost de puissance qu’une fois avoir changé de voitures à la mi-course. Le FanBoost ne pourra toutefois être employé qu’à une seule reprise, et non pas par série de hausses de puissance. Les fans pourront commencer à voter pour leur pilote favori pour la course d’ouverture de la saison à Pékin dès lundi 12 octobre. La gestion de ces votes en temps réel a été confiée à une entreprise spécialisée, Telescope TV, basée à Los Angeles. Telescope TV est déjà impliqué en NASCAR et compile les votes des fans pour leurs pilotes favoris. "FanBoost est une façon unique d’interagir avec nos fans. Pouvoir voter durant le déroulement de la course augmente le niveau d’engagement des fans, créant ainsi une relation en temps réel entre les pilotes, les équipes et les amateurs”, déclare Ali Russell, directeur les alliances stratégiques chez Formula E Holdings Ltd. “La génération de fans hyper connectés recherche constamment de nouvelles façons de se rapprocher de ses sports favoris. Nous sommes fiers d’être partenaires de la Formule E”, poursuit Jason George, chef de la direction de Telescope. “Notre tâche sera de donner aux fans la capacité d’avoir un impact significatif durant le déroulement des courses. Cette intervention a le pouvoir de changer le visage des sports comme nous les connaissons. Des auditoires passifs pourront devenir des participants actifs”. Source: Motorsport Contributeur: Simon-Pierre Rioux Voici le calendrier du championnat FIA Formule-E pour la saison 2015-16 qui nous a été fourni ce matin. On remarque que Miami n'est plus présent au calendrier, et un bel ajout est le ePrix de Paris en avril, mois du printemps et de l'amour dans la ville-lumière!
24 octobre, 2015 - ePrix de Pékin 7 novembre, 2015 - ePrix de Putrajaya 19 décembre, 2015 - ePrix de Punta del Este 6 février, 2016 - ePrix de Buenos Aires 19 mars, 2016 - à venir 2 avril, 2016 - ePrix de Long Beach 23 avril, 2016 - ePrix de Paris 21 mai, 2016 - ePrix de Berlin 4 juin, 2016 - ePrix de Moscou X juin, 2016 - ePrix de Londres À noter que Montréal a récemment déposé sa candidature pour la 3e saison de Formule-E, qui débutera en septembre 2016. Lire l'article pour plus de détails. Source: FIA Les discussions étaient entamées depuis longtemps, mais c'est désormais officiel: Montréal posera sa candidature pour accueillir une étape du Championnat de Formule E en 2016.
Les élus de l'administration Coderre voteront ce matin en comité exécutif une résolution pour accorder la somme de 100 000 euros au promoteur Formula E Holdings afin qu'il puisse procéder à l'analyse du dossier de candidature de Montréal et identifier le circuit que les bolides électriques pourraient emprunter. Contrairement au Grand Prix de Formule 1, disputé sur le circuit Gilles-Villeneuve, la course de Formule E se déroulera en plein centre-ville, à la demande du maire Denis Coderre. La semaine dernière, ce dernier avait d'ailleurs annoncé la venue prochaine des promoteurs de Formule E dans la métropole pour établir le circuit. «La ville de Montréal souhaite devenir la capitale de l'électrification en Amérique du Nord. Depuis plus d'un an, des actions ont été entreprises à cet effet telles que l'installation de bornes de recharge sur le domaine public ainsi qu'un appel d'intérêt pour la mise en place d'un système d'autopartage de voitures électriques», peut-on lire dans un document préparé par la Ville rendu public hier. «L'administration municipale souhaite que la ville de Montréal pose sa candidature afin que celle-ci devienne un incontournable dans le calendrier des courses de la Formule électrique. Le Championnat de Formule E de la FIA est un championnat de course automobile utilisant des monoplaces de Formule E, le seul utilisant des véhicules propulsés par un moteur électrique», ajoute le document. Si la candidature de Montréal est acceptée, la métropole se joindra à 10 autres villes sur le calendrier des courses, dont Buenos Aires, Pékin, Monaco, Berlin, Moscou, Paris et Londres. Source: La Presse / Daphné Cameron Contributeur: Simon-Pierre Rioux Les promoteurs de la Formule E seront de passage à Montréal la semaine prochaine pour déterminer le circuit qu'emprunteront leurs bolides électriques en septembre 2016, a indiqué le maire Denis Coderre.
La métropole convoite depuis plusieurs mois la tenue d'une étape de ce nouveau circuit de course automobile dans lequel se mesurent des véhicules 100% électriques. Le PDG de la Formule E, Alejandro Agag, avait confirmé en mai dernier au magazine européen AutoSport que Montréal accueillerait la première étape du calendrier 2016. La visite des promoteurs permettra de ficeler les détails pour la présentation de cet événement, dont le circuit qui empruntera les rues du centre-ville. Dans son entrevue à AutoSport, M. Agag avait indiqué que son organisation avait envisagé de tenir sa course au circuit Gilles-Villeneuve, mais que le maire Coderre a insisté pour que la course se tienne dans les rues du centre-ville. Source : La Presse Contribution : Martin Archambault Lors de la 5ième journée d'essais libres à Donington Park, qui est le quartier général de la FIA Formule-E, le Canadien Jacques Villeneuve a démontré de la confiance et s'améliore constamment au volant de sa monoplace de l'équipe Venturi. Villeneuve, qui avait terminé les premiers jours d'essais loin derrière les autres pilotes, chronométrant jusqu'à 50 secondes de retard, a progressivement remonté dans les classements temporaires pour inscrire le 4e meilleur temps aujourd'hui, avec 1:32.152s, moins de 1.5 secondes d'écart avec le meneur. Notre "Jacques national" doit s'adapter à une technique de course et une gestion de l'autonomie qui diffère énormément avec ce qu'il a pu connaitre dans sa carrière, mais il est confiant que la saison débutera bien. "Cela faisait 10 ans que je n'avais pas roulé sur un circuit routier dans ce type de véhicule. Mais c'est comme le vélo ça ne s'oublie pas. C'est un petit bonheur qui s'est mis en place. Il y avait une très bonne ambiance avec le team Venturi et j'ai retrouvé un ingénieur italien de mes débuts en monoplace. C'était génial. C'était très excitant et j'en avais très envie. Tout s'est bien déroulé. La saison dernière, à chaque fois que j'ai croisé des pilotes de Formula-E ils disaient tous que cette compétition était vraiment très bien." L'AVÉQ continuera de suivre l'évolution de Jacques Villeneuve d'ici sa première course qui aura lieu à Pékin le 17 octobre 2015. FIA Formula E Championship - Official pre-season testing |
1. Sam Bird, DS Virgin Racing, 1:30.451s 2. Lucas di Grassi, ABT Schaeffler Audi Sport, 1:30.772s 3. Loic Duval, Dragon Racing, 1:32.022s 4. Jacques Villeneuve, Venturi Formula E, 1:32.154s 5. Jerome D’Ambrosio, Dragon Racing, 1:33.419s 6. Stephane Sarrazin, Venturi Formula E, 1:33.569s 7. Sebastien Buemi, Renault e.dams, 1:33.883s 8. Oliver Turvey, NEXTEV TCR. 1:34.203s 9. Nick Heidfeld, Mahindra Racing, 1:34.501s 10. Nathanael Berthon, Team Aguri, 1:34.739s 11. Nicolas Prost, Renault e.dams, 1:34.895s 12. Bruno Senna, Mahindra Racing, 1:35.611s |
Source: FIA Formula-E
Contributeur: Simon-Pierre Rioux
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